Construction : quel bardage choisir ?

Avec la transition énergétique amorcée et le succès de l’isolation par l’extérieur, nombreuses sont les constructions ayant recours aux bardages. Bois, métaux ou minéraux, tour d’horizon des possibilités !

Un bardage en bois

La famille des bardages en bois se divise en 3 grandes branches.

Le bois massif, qui est mis en avant pour son esthétisme et ses qualités en termes de résistances selon son espèce ; le lamellé-collé, qui est obtenu par la superposition de lames de bois collées sous pression et qui permet de plus grandes longueurs/largeurs que le bois massif sans aucune déformation et le bois composite, qui est le plus résistant et performant que les autres (imputrescible, résistant aux chocs, UV, intempéries, température, etc.).

Pour installer ces bardages en bois, différents systèmes de pose existent : à l’américaine, à la scandinave ou encore à claire-voie.

Un bardage en aluminium

Les panneaux en composite aluminium étaient autrefois réservés aux bâtiments professionnels, mais ils se démocratisent peu à peu. Ce succès est dû aux qualités techniques du matériau qui préserve efficacement la façade ainsi que l’intérieur du bâtiment en termes d’isolation : résistance aux intempéries, températures, chocs et ruptures, corrosion, isolation avec double peau, etc.

Aussi, le panneau en aluminium offre de nombreuses possibilités esthétiques pour une personnalisation poussée des bâtiments : cintrage, de perforation, grande variété de coloris.

Un bardage minéral

Le bardage minéral apporte un grand cachet à la construction. Il se décline en 3 grandes catégories :

La pierre, qui est réservée aux bâtiments à 1 ou 2 étages ; les ardoises naturelles et synthétiques et les parements en terre cuite. Si leur atout esthétique n’est pas à démontrer, leur faiblesse réside dans leur fragilité, notamment pour les bardages en ardoise et terre cuite.